Les communautés face aux addictions

Le partage doit se préserver pour protéger les plus démunis

Emmaüs Labarthe-sur-Léze et Escalquens. : « les compagnons doivent respecter un règlement intérieur qui, au premier point, interdit l’alcool. »

http://www.ladepeche.fr/article/2009/09/25/680479-les-compagnons-d-emmaues-debout-grace-au-travail.html

 

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Emmaüs de Troyes : « C’est une jeune communauté, la moyenne d’âge est de 30-35 ans. Certains retrouvent une famille dans la communauté. On voit des gens réémerger, avoir envie d’une vie sociale et se sentir utiles aux autres ! » Pas de compte à rendre sur le passé, les compagnons sont acceptés comme ils sont mais doivent respecter le règlement intérieur (pas d’alcool, de drogue, de racisme ou de sexisme).  »

 

http://www.lhebdoduvendredi.com/article/15660/%C2%AB%C2%A0l-accueil_est_inconditionnel_la_porte_reste_ouverte_quelle_que_soit_l-heure%C2%A0%C2%BB

 

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Communauté Le Far : « l’interdiction de consommer de l’alcool dans les lieux fera partie du règlement intérieur de la structure, tandis que tout nouvel arrivant ne sera admis qu’à l’express condition d’un renoncement à boire ou à consommer toute substance addictive. »

 

http://www.lien-social.com/chrs-autogere-le-far-reflexion

 

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Le Village du 115 Du Particulier : Le respect à la personne doit en toutes circonstances être de mise.

Délation, ourdi, rumeur, calomnie, diffamation, crise de jalousie à deux balles,

enfin toute forme d’incitation aux conflits y est proscrit !

Rien ni personne ne contraindra un résident à séjourner dans notre communauté.

A l’inverse, rien ni personne ne contraindra la communauté à supporter les comportements asociaux d’un résident au détriment de la sérénité communautaire.

 

Ne pas être sujet à une quelconque addiction : Alcool, drogue…

 

TOLERANCE ZERO !

 

Notre Communauté ne sera jamais un ghetto où l’on cultive les déchéances !

Mais bien un lieu où la reconstruction individuelle est privilégiée au rythme du tout à chacun dans l’exercice d’une solidarité la plus authentique.

 

Beaucoup trop de centres d’hébergement d’urgence deviennent des cloaques où l’alcool, la drogue, les trafics, le vol, la violence, le viol et autres shémas de l’inavouable s’y entretiennent au lieu d’y être bannis fermement, et ce, parce que l’encadrement se réfugie dans un laxisme qui les cautionne ni plus ni moins à défaut de les éradiquer.

 

 

 

Conscient que la désocialisation reste le berceau des addictions,

le 115 Du Particulier n’a toujours pas, depuis sa création, la prétention de se substituer

aux travailleurs sociaux, aux personnels spécialisés en psy, ni même aux associations ou aux institutions existantes,

mais bien de proposer et de réfléchir à « un coup de main » supplémentaire au devenir du Sans Abri.

 

Et puis, en toute logique, un citoyen qui dispose d’un pécule suffisant pour acheter sa came ou sa picole, a manifestement les moyens de payer un loyer et ne doit pas prendre la place d’une personne réellement dans le besoin…

 

Toute inobservation de ce protocole se traduira par le départ sans appel du contrevenant ! »