VUE SUR VIE!

La misère n’a pas de frontière, pas plus de carte de séjour pour s’attaquer à l’homme…
Les seules frontières qui subsistent sont celles des monopoles de la misère que les grandes enseignes caritatives s’imposent entre elles en pensant détenir LA solution suprême.
Nul n’a la science infuse !
Alors au lieu de jouer collectif, ils jouent individualiste, et ce, au reflet d’une société qui ne jure que par ce credo.
La solidarité, le partage sont autant de vertus qui encensent l’humanisme nécessaire à une véritable éradication de la misère, et ce, bien loin des discours religieux et politiques.
N’oublions pas que nous sommes avant tout citoyens du monde et pas des moutons de pan-urge de telle ou telle contrée aux relents partisans.
Le soleil, qu’il brille ou pas, existe pour tout le monde, sans distinction.
Et la terre est un berceau commun, pas un terrain de foot où le nombre d’acteurs est sciemment et artificiellement limité par une poignée qui ne sera jamais à l’image du plus grand nombre.
La terre comme le ciel sont indivisibles par nature.
Trop de gens, trop d’enfants sont aujourd’hui victimes de mal êtres sociétaux sans pour autant qu’ils en soient l’origine ou l’artisan.
Cela s’appelle l’injustice !…
Peut-on en ce cas parler d’égalité des chances ?
La vie reste un droit inaliénable !
Le cosmopolitisme est à la diversité, ce que la paix est au grégarisme, soit l’unique évidence…
Le reste n’est que sujet à division.
Brann du Senon